Portraits 2022

Portraits 2022

DÉCOMPTE JVL - 28 mars au 26 avril 2022!

Présentation d'une série de portraits* en vue de la Journée de visibilité lesbienne

*Les gens entourant la culture lesbienne actuelle, c'est nous toutes; les personnes lesbiennes, bi, queer, pan, non binaires, bispirituelles, trans et + qui peuvent faire de cette journée ce qu'elle est.

Crédit photo: Émilie Lapointe
Crédit photo: Gin Bergeron
Crédit photo: Michelle Brousseau
Crédit photo : Sarahmée
Crédit photo : Janicka MacKinnon
Crédit photo : Denyse Coutu
Crédit photo: Julie Antoine
Crédit photo: Josette Bourque
Crédit photo: Nicole Brossard
Crédit photo: LSTW
Crédit photo: Marie Houzeau
Crédit photo: Céline Lessard
Crédit photo : Louise Turcotte
Crédit photo : Anne Michaud
Crédit photo : Mona Greenbaum
Crédit photo: Gloria Escomel
Crédit photo: Suzie Bordeleau
Crédit photo: Audrey Mantha
Crédit photo: Diane Trépanière
Crédit photo: Danielle Charest
Crédit photo: Karol O'Brien
Crédit photo : Francine Mayer
Crédit photo : Johanne Doré
Crédit photo :Monik Audet
Crédit photo: Johanne Audet
Crédit photo: Justine Latour
Crédit photo: Suzanne Boisvert
Crédit photo: Claire Laberge
Crédit photo : Danielle Boutet
Crédit photo: Cynthia Eysseric

Partenaires financiers

Coco Belliveau

Coco Belliveau est fière de porter le flambeau de la visibilité à titre de porte-parole de la Journée Visibilité Lesbienne 2022: «Ma petite sœur est bisexuelle et elle a fait un club à son école pour accueillir les jeunes de la diversité sexuelle et je trouve ça super cool! Moi aussi, j’ai le goût de m’impliquer, de pouvoir faire une différence, de monter des exemples positifs aux gens pour que ce soit plus visible, car ce n’est pas assez présent!

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Gin Bergeron

« 𝐁𝐢𝐞𝐧 𝐪𝐮𝐞 𝐣𝐞 𝐧𝐞 𝐧𝐨𝐦𝐦𝐞𝐫𝐚𝐢, 𝐢𝐜𝐢, 𝐚𝐮𝐜𝐮𝐧𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐥𝐞𝐬𝐛𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞𝐬 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐪𝐮𝐢 𝐣’𝐚𝐢 𝐣𝐨𝐮𝐞́, 𝐭𝐫𝐚𝐯𝐚𝐢𝐥𝐥𝐞́, 𝐦𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́, 𝐜𝐨𝐥𝐥𝐚𝐛𝐨𝐫𝐞́ 𝐞𝐭 𝐚𝐢𝐦𝐞́ (𝐩𝐚𝐫𝐜𝐞 𝐪𝐮’𝐢𝐥 𝐲 𝐞𝐧 𝐚𝐮𝐫𝐚𝐢𝐭 𝐛𝐞𝐚𝐮𝐜𝐨𝐮𝐩 𝐭𝐫𝐨𝐩), 𝐣𝐞 𝐭𝐢𝐞𝐧𝐬 𝐚̀ 𝐥𝐞𝐬 𝐡𝐨𝐧𝐨𝐫𝐞𝐫 𝐞𝐭 𝐚̀ 𝐥𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐦𝐞𝐫𝐜𝐢𝐞𝐫 𝐭𝐨𝐮𝐭𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐜𝐡𝐚𝐜𝐮𝐧𝐞, 𝐩𝐚𝐫𝐜𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐣’𝐞𝐬𝐭𝐢𝐦𝐞 𝐪𝐮’𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐦’𝐨𝐧𝐭 𝐧𝐨𝐮𝐫𝐫𝐢𝐞 𝐞𝐭 𝐚𝐢𝐝𝐞́𝐞 𝐚̀ 𝐞̂𝐭𝐫𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐣𝐞 𝐬𝐮𝐢𝐬. 𝐄𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐟𝐨𝐧𝐭 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐞 𝐝𝐞 𝐦𝐨𝐢 𝐞𝐭 𝐣’𝐞𝐬𝐩𝐞̀𝐫𝐞 𝐟𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐞 𝐮𝐧 𝐩𝐞𝐮 𝐝’𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬… »

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Michelle Brousseau

𝐌𝐢𝐜𝐡𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐧’𝐡𝐞́𝐬𝐢𝐭𝐞 𝐩𝐚𝐬 𝐚̀ 𝐜𝐨𝐧𝐜𝐥𝐮𝐫𝐞 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐩𝐞𝐫𝐭𝐢𝐧𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐣𝐨𝐮𝐫𝐧𝐞́𝐞, 𝟒𝟎 𝐚𝐧𝐬 𝐚𝐩𝐫𝐞̀𝐬 𝐬𝐚 𝐜𝐫𝐞́𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 : « 𝐋𝐞𝐬 𝐥𝐞𝐬𝐛𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞𝐬 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐜𝐞𝐫𝐭𝐚𝐢𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐞𝐧𝐜𝐨𝐫𝐞 𝐢𝐧𝐯𝐢𝐬𝐢𝐛𝐥𝐞𝐬, 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐣𝐞 𝐫𝐞́𝐩𝐨𝐧𝐝𝐬 “𝐨𝐮𝐢” 𝐚̀ 𝐯𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐪𝐮𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧. 𝐏𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞𝐬, 𝐢𝐥 𝐞𝐬𝐭 𝐞𝐧𝐜𝐨𝐫𝐞 𝐝𝐢𝐟𝐟𝐢𝐜𝐢𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐩𝐫𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐧𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐩𝐥𝐚𝐜𝐞… 𝐞𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐥𝐞𝐬𝐛𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞𝐬, 𝐜𝐞𝐫𝐭𝐚𝐢𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐞𝐧𝐜𝐨𝐫𝐞 𝐩𝐥𝐮𝐬. 𝐋𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐞́𝐣𝐮𝐠𝐞́𝐬 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐭𝐞𝐧𝐚𝐜𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐮𝐧 𝐟𝐫𝐞𝐢𝐧 𝐚̀ 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐯𝐢𝐬𝐢𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́.

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Sarahmée - Prix Visibilité

« J’ai dû aussi apprendre à naviguer avec certaines choses, du fait d’être ouvertement LGBTQ, et d’amener ça dans ma vie publique, parce que j’étais tannée de ne pas être 100 % qui j’étais. Juste d’en parler dans les entrevues, de le nommer, ça m’a beaucoup libérée. J’ai senti que ça ouvrait un dialogue et que les répercussions négatives n’étaient pas vraiment là, qu’il y avait plus de peur qu’autre chose. Ça fait partie de moi de vouloir être acceptée et je pense que je ne suis pas la seule, donc si ça peut amener un peu de lumière chez d’autres personnes, je suis contente. »

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Lani Trilène

« 𝐋𝐚 𝐉𝐕𝐋 𝐞𝐬𝐭 𝐭𝐨𝐮𝐣𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐝’𝐚𝐜𝐭𝐮𝐚𝐥𝐢𝐭𝐞́, 𝐜𝐚𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐢𝐬𝐜𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐜𝐡𝐚𝐧𝐠𝐞𝐧𝐭, 𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐥𝐞 𝐬𝐢𝐠𝐥𝐞 𝐋𝐆𝐁𝐓𝐐+ 𝐞𝐬𝐭 𝐞𝐧𝐜𝐨𝐫𝐞 𝐥𝐚̀ : 𝐜𝐡𝐚𝐪𝐮𝐞 𝐥𝐞𝐭𝐭𝐫𝐞 𝐚̀ 𝐬𝐚 𝐩𝐥𝐚𝐜𝐞. 𝐄𝐧𝐥𝐞𝐯𝐞𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐥𝐞𝐭𝐭𝐫𝐞𝐬, 𝐜𝐞 𝐬𝐞𝐫𝐚𝐢𝐭 𝐞𝐧𝐥𝐞𝐯𝐞𝐫 𝐚𝐮𝐱 𝐩𝐞𝐫𝐬𝐨𝐧𝐧𝐞𝐬 𝐥𝐚 𝐩𝐨𝐬𝐬𝐢𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐝𝐞 𝐬𝐞 𝐝𝐞́𝐟𝐢𝐧𝐢𝐫 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐯𝐞𝐮𝐥𝐞𝐧𝐭. »

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Marie-Michèle Cholette - Posthume

𝐌𝐚𝐫𝐢𝐞-𝐌𝐢𝐜𝐡𝐞̀𝐥𝐞 𝐟𝐚𝐢𝐭 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐞𝐬 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞𝐬 𝐩𝐢𝐨𝐧𝐧𝐢𝐞̀𝐫𝐞𝐬 𝐪𝐮𝐢 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐝𝐨𝐧𝐧𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐞 𝐜𝐨𝐮𝐫𝐚𝐠𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐮𝐭𝐭𝐞𝐫, 𝐝𝐞 𝐦𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞𝐫 𝐞𝐭 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐞𝐧 𝐟𝐚𝐢𝐬𝐨𝐧𝐬 𝐮𝐧 𝐝𝐞𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐝𝐞 𝐦𝐞́𝐦𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐚𝐠𝐞𝐫 𝐢𝐜𝐢 𝐬𝐨𝐧 𝐩𝐚𝐫𝐜𝐨𝐮𝐫𝐬. 𝐈𝐧𝐜𝐨𝐦𝐩𝐥𝐞𝐭, 𝐜𝐞𝐫𝐭𝐞𝐬, 𝐩𝐮𝐢𝐬𝐪𝐮𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐧𝐨𝐬 𝐩𝐢𝐨𝐧𝐧𝐢𝐞̀𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐞𝐦𝐞𝐮𝐫𝐞𝐧𝐭 𝐭𝐫𝐨𝐩 𝐬𝐨𝐮𝐯𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥’𝐨𝐦𝐛𝐫𝐞, 𝐜𝐞𝐭 𝐡𝐨𝐦𝐦𝐚𝐠𝐞 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐦𝐞́𝐦𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐌𝐚𝐫𝐢𝐞-𝐌𝐢𝐜𝐡𝐞̀𝐥𝐞 𝐂𝐡𝐨𝐥𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐯𝐞𝐮𝐭 𝐫𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐯𝐢𝐬𝐢𝐛𝐥𝐞 𝐥𝐞 𝐭𝐫𝐚𝐯𝐚𝐢𝐥 𝐝’𝐮𝐧𝐞 𝐦𝐢𝐥𝐢𝐭𝐚𝐧𝐭𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐨𝐧𝐠𝐮𝐞 𝐝𝐚𝐭𝐞.

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Réseau des lesbiennes du Québec - Julie Antoine

𝐋𝐞 𝐑𝐋𝐐 𝐚 𝐭𝐨𝐮𝐣𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐠𝐫𝐚𝐯𝐢𝐭𝐞́ 𝐚𝐮𝐭𝐨𝐮𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐉𝐨𝐮𝐫𝐧𝐞́𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐕𝐢𝐬𝐢𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐋𝐞𝐬𝐛𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞 𝐝𝐞𝐩𝐮𝐢𝐬 𝐬𝐚 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐭𝐢𝐭𝐮𝐭𝐢𝐨𝐧. 𝐄𝐧 𝐞𝐟𝐟𝐞𝐭, 𝐥𝐞 𝐑𝐋𝐐 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐚̀ 𝐬’𝐢𝐦𝐩𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞𝐫 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐚 𝐉𝐕𝐋 𝐚𝐮𝐩𝐫𝐞̀𝐬 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐠𝐫𝐨𝐮𝐩𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐨𝐫𝐠𝐚𝐧𝐢𝐬𝐚𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐚̀ 𝐭𝐢𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐞𝐧𝐚𝐢𝐫𝐞. 𝐎𝐧 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐭𝐞𝐫𝐚 𝐝’𝐚𝐢𝐥𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐬𝐚 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐜𝐢𝐩𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐭𝐨𝐮𝐭𝐞 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐉𝐕𝐋 𝐨𝐫𝐠𝐚𝐧𝐢𝐬𝐞́𝐞 𝐩𝐚𝐫 𝐈𝐧𝐭𝐞𝐫𝐥𝐢𝐠𝐧𝐞 𝐞𝐧 𝟐𝟎𝟎𝟓, 𝐩𝐮𝐢𝐬 𝐜𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐨𝐫𝐠𝐚𝐧𝐢𝐬𝐞́𝐞𝐬 𝐞𝐧 𝐚𝐥𝐭𝐞𝐫𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐩𝐚𝐫 𝐥𝐞 𝐆𝐑𝐈𝐒-𝐌𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞́𝐚𝐥 𝐞𝐭 𝐈𝐧𝐭𝐞𝐫𝐥𝐢𝐠𝐧𝐞 𝐝𝐞 𝟐𝟎𝟎𝟔 𝐚̀ 𝟐𝟎𝟎𝟗.

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Josette Bourque

« 𝐉𝐞 𝐬𝐮𝐢𝐬 𝐟𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐝’𝐚𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐯𝐞́𝐜𝐮 𝐚𝐮 𝐬𝐞𝐢𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧𝐚𝐮𝐭𝐞́ 𝐥𝐞𝐬𝐛𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞. 𝐒𝐢 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐚𝐯𝐨𝐧𝐬 𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐫𝐞́𝐚𝐥𝐢𝐬𝐞́ 𝐝𝐞 𝐜𝐡𝐨𝐬𝐞𝐬, 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐠𝐫𝐚̂𝐜𝐞 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐜𝐢𝐩𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐜𝐨𝐥𝐥𝐞𝐜𝐭𝐢𝐯𝐞. 𝐀𝐮𝐣𝐨𝐮𝐫𝐝’𝐡𝐮𝐢, 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐪𝐮𝐞 𝐣𝐚𝐦𝐚𝐢𝐬, 𝐥𝐚 𝐉𝐨𝐮𝐫𝐧𝐞́𝐞 𝐝𝐞 𝐕𝐢𝐬𝐢𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐋𝐞𝐬𝐛𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐥’𝐨𝐜𝐜𝐚𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐬𝐞 𝐫𝐞𝐭𝐫𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐜𝐞́𝐥𝐞́𝐛𝐫𝐞𝐫 𝐞𝐧𝐬𝐞𝐦𝐛𝐥𝐞. »

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Prix Hommage - Nicole Brossard

𝐋’𝐞́𝐜𝐫𝐢𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐍𝐢𝐜𝐨𝐥𝐞 𝐁𝐫𝐨𝐬𝐬𝐚𝐫𝐝 𝐞𝐬𝐭 𝐮𝐧𝐞 𝐬𝐮𝐢𝐭𝐞 𝐝’𝐚𝐟𝐟𝐢𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐢𝐝𝐞𝐧𝐭𝐢𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬, 𝐝𝐞 𝐟𝐞𝐫𝐯𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐚𝐯𝐨𝐮𝐞́𝐞𝐬, 𝐚̀ 𝐮𝐧𝐞 𝐞́𝐩𝐨𝐪𝐮𝐞 𝐨𝐮̀ 𝐬𝐞 𝐝𝐢𝐫𝐞 𝐥𝐞𝐬𝐛𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞 𝐞𝐭 𝐥’𝐞́𝐜𝐫𝐢𝐫𝐞, 𝐞𝐧 𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐪𝐮𝐞 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞, 𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐭 𝐮𝐧 𝐠𝐞𝐬𝐭𝐞 𝐜𝐨𝐮𝐫𝐚𝐠𝐞𝐮𝐱. 𝐇𝐮𝐦𝐛𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐞́𝐭𝐨𝐧𝐧𝐞́𝐞 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐜𝐞𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐥𝐞 𝐏𝐫𝐢𝐱 𝐡𝐨𝐦𝐦𝐚𝐠𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐉𝐕𝐋, 𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐧𝐞 𝐛𝐨𝐮𝐝𝐞 𝐩𝐚𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐚𝐮𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐬𝐨𝐧 𝐩𝐥𝐚𝐢𝐬𝐢𝐫 : « 𝐉𝐞 𝐩𝐞𝐧𝐬𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐥𝐚 𝐉𝐨𝐮𝐫𝐧𝐞́𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐢𝐦𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐧𝐭𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐚 𝐦𝐞𝐬𝐮𝐫𝐞 𝐨𝐮̀ 𝐨𝐧 𝐚 𝐞𝐧𝐜𝐨𝐫𝐞 𝐛𝐞𝐬𝐨𝐢𝐧 𝐝𝐞 𝐛𝐞𝐚𝐮𝐜𝐨𝐮𝐩 𝐝𝐞 𝐯𝐢𝐬𝐢𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́ ».

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

LSTW - Florence Gagnon

Ces journées sont des moments d’échange et nous en avons plus que jamais besoin ! Rien ne vaut les rencontres en personne et les procédés artistiques pour bien témoigner de toute la sensibilité qui est nécessaire pour refléter nos réalités. Et il faut les rendre visibles ! Marquer le temps.

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Marie Houzeau - GRIS-Montréal

40 ans plus tard, l’invisibilité lesbienne est toujours d’actualité… De ce fait, la JVL est d’autant plus d’actualité elle aussi ! Les jeunes femmes sont toujours en manque cruel de modèles et de lieu de rassemblement ou d’appartenance. « Faire communauté » n’est toujours pas une chose aisée et les événements rassembleurs qui célèbrent notre histoire et notre unicité ont très certainement encore leur place.  

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Johanne Coulombe -Prix Militantisme

S’il n’est guère facile de résumer une vie si riche en quelques lignes, l’exercice est incontournable, d’abord et avant tout parce que Johanne, personne d’une (trop) grande humilité, mérite d’être mise de l’avant. Que cet hommage prenne forme d’abord par les mots n’est pas vain. Personne de cœur et grande amoureuse des mots, Johanne n’hésite pas à affirmer son lesbianisme radical et son militantisme dès 1984.

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Louise Turcotte

« Évidemment, la JVL n’est plus faite dans le même état d’esprit, ce qui est normal 30 ou 40 ans plus tard. Cependant, son existence me semble tout aussi importante. En effet, bien qu’on n’ait jamais autant parlé de la communauté LGBTQI+, je trouve qu’on y perd souvent de vue le L en question. Ramener le lesbianisme au centre de nos préoccupations me semble relever d’une démarche qui est incontournable, autant sur les plans historiques que contemporain ! » mentionne Louise Turcotte.

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Anne Michaud

Quarante ans plus tard, Anne souligne qu’il est plus important que jamais de mettre en lumière les discriminations qui sont propres aux lesbiennes de tous âges et de toutes conditions. Constatant une nouvelle forme d’invisibilité sous les nouveaux vocables de la diversité, Anne croit qu’il est temps de remettre le « L » à l’avant-plan des revendications et de soutenir la prise de parole de celles qui relèvent des défis quotidiens dans un monde encore dominé par le patriarcat et la misogynie qui en découle.

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Mona Greenbaum - Coalition des familles LGBT

C’est une identité [lesbienne] qui existe toujours pour beaucoup de personnes. C’est sûr que les identités des femmes ont évolué à travers les années, comme pour la jeune génération, il y en a de plus en plus qui vont dire « je suis queer » ou « je suis pansexuelle » ou qui vont avoir d’autres étiquettes, mais à la base, je pense qu’il y aura toujours des femmes qui aiment d’autres femmes.

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Suzie Bordeleau

« Lors de la Journée contre l’homophobie et la transphobie, où est la lesbophobie ? On n’en entend jamais parler. On n’entend jamais parler des conditions des lesbiennes. Être lesbienne, c’est être une femme qui aime les femmes et on vit une discrimination spécifique à cela. Il faut le nommer. » C’est pour cela que Suzie s’implique activement depuis plusieurs années dans la Journée de Visibilité Lesbienne.

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Audrey Mantha

Quarante ans plus tard, la Journée de Visibilité Lesbienne est toujours autant d’actualité, conclut Audrey Mantha : « Au-delà des gains légaux obtenus grâce aux nombreuses luttes féministes et lesbiennes, l’égalité sociale demeure un enjeu important dans nos communautés. Les lesbiennes étant souvent invisibilisées dans la sphère publique, la Journée de Visibilité Lesbienne est un événement annuel incontournable pour échanger sur les situations qui nous touchent, mais aussi pour démontrer toute la fierté qui sous-tend l’identité lesbienne ».

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Diane Trépanière

« Ma participation à des spectacles, créés sous la direction de Suzanne Boisvert dans le cadre des Journées de Visibilité Lesbienne, s’avère pour moi une école artistique inestimable et combien mémorable ! Les petits budgets reconduits chaque année nous forcent à de grands déploiements créatifs. Au cœur de cette période foisonnante d’initiatives artistiques, quelle fierté d’être associée à l’étiquette des lesbiennes culturelles ! »

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Danielle Charest (1951-2011)

Si Danielle Charest prend conscience de son lesbianisme vers l’âge de 13 ou 14 ans, elle est « lesbienne depuis toujours, » affirme-t-elle d’emblée dans sa première contribution à la revue AHLA, Amazones d’hier, lesbiennes d’aujourd’hui. Fière guérillera d’origine sherbrookoise, elle débarque sur le Plateau et y fait la connaissance d’un cercle au sein duquel elle peut s’exprimer et agir en fonction de ses valeurs, notamment en s’impliquant à la COOP femmes. Convaincue de la dimension politique du lesbianisme, Danielle est déjà une militante lesbienne radicale dans l’âme.

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Karol O'Brien

Dans les années 1980, Karol co-crée une multitude de projets, dont le Projet Lavande qui vise à rassembler les lesbiennes et à promouvoir la culture. Elle s’implique aussi dans plusieurs Journées de Visibilité Lesbienne tout en participant à sa mise en œuvre, après une pause bien méritée : « Je me souviens qu’à un moment on s’est dit : il faudrait qu’on s’organise une journée pour nous, une journée pour nous célébrer. Et c’est comme ça qu’on a remis sur pied la Journée de Visibilité, avec beaucoup de temps, de solidarité et peu d’argent. »

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Francine Mayer

La Journée de Visibilité Lesbienne était un travail de l’ombre qui s’effectuait néanmoins tous les jours. « Nous vivions une époque extraordinaire, » se souvient-elle. « De nombreuses publications lesbiennes ont vu le jour à ce moment-là. Nous parlions, nous respirions le lesbianisme politique. Il y avait toute une gamme de mouvements politiques de lesbiennes, entre autres, le lesbianisme radical, le lesbianisme féministe, le lesbianisme séparatiste, et j’en passe, » explique-t-elle.

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Johanne Doré

En 1984, Johanne commence une tournée de one woman shows et devient une humoriste reconnue sur la scène féministe. Mais il lui sera plus difficile d’afficher son lesbianisme, soutient l’humoriste : « C’est comme si j’avais peur de perdre ma crédibilité de féministe en étant lesbienne. Dans mes numéros, je m’autocensurais. Je voulais avoir des contrats. Je suis certaine que si j’avais été lesbienne “sortie” à l’époque, je n’aurais pas eu les contrats ».

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Monik Audet

D’ailleurs, Monik garde un souvenir mémorable d’une de ces soirées, tenues dans un sous-sol d’église du boulevard Saint-Joseph, qui réunissaient près de 900 lesbiennes. « Le groupe Les Folles alliées, l’humoriste Johanne Doré et la chanteuse France Leblanc ont livré des performances endiablées devant une foule qui, à la fin du spectacle, tentaient d’attraper des “Whippets” à la volée lancés du haut de la scène, » se rappelle Monik. « À cette époque, ma contribution se résumait à ramasser les gobelets vides, empiler les chaises, nettoyer les tables. Ces fins de soirée se voulaient un moment pour rencontrer de belles lesbiennes aux bras musclés ou des intellectuelles aguerries, des modèles positifs qui m’ont permis de cheminer et de m’identifier comme lesbienne militante. »

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Interligne - Johanne Audet

Même si les choses évoluent et s’améliorent, il y a encore trop peu de modèles de femmes dans notre communauté et dans toutes les sphères de notre société. Les phobies LGBTQ+, dont la lesbophobie, oppressent encore beaucoup trop de femmes et personnes lesbiennes de nos communautés et leurs réalités sont encore trop souvent invalidées.

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Fédération des femmes du Québec - Mélanie Ederer

En tant que Fédération des femmes du Québec, c’est impératif que les femmes de la diversité sexuelle soient dans nos réflexions et nos luttes. Nous ne voulons pas seulement les inclure : nous voulons qu’elles soient partie intégrante du mouvement ! À travers les années, nos membres ont notamment adopté des positions de solidarité avec les femmes lesbiennes en s’opposant à l’homophobie, au cissexisme et ont cherché à mieux comprendre les réalités des personnes trans.

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Suzanne Boisvert

Au sujet de la Journée de visibilité lesbienne, Suzanne Boisvert se souvient des spectacles auxquels elle a collaboré. Après avoir mis en scène le spectacle musical de la sixième JVL en 1987 à l’Union Française, intitulé La boîte à musique, elle désire créer, l’année suivante, un spectacle concept, multi- et interdisciplinaire… « et très irrévérencieux, » souligne la principale intéressée.

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Centre de solidarité lesbienne - Claire Laberge

Au-delà des gains légaux obtenus grâce aux nombreuses luttes féministes et lesbiennes, l’égalité sociale demeure un enjeu important dans nos communautés. Les lesbiennes étaient souvent invisibilisées dans la sphère publique, la Journée de Visibilité Lesbienne est un événement annuel incontournable pour échanger sur les situations qui nous touchent, mais aussi pour démontrer toute la fierté qui sous-tend l’identité lesbienne.

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Danielle Boutet

Très active au sein du milieu des lesbiennes dans les années 1980, elle se rappelle avoir participé à la Journée de Visibilité Lesbienne en octobre 1982, au Y des femmes. Elle s’impliquait alors au sein de la revue Ça s’attrape !! « En 1982, la journée ne s’appelait pas “visibilité lesbienne”, précise Danielle, mais “lesbiennes visibles l’une à l’autre”, ce qui engendre des aspects très différents, mais tout aussi importants, » dit-elle.

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.

Cynthia Eysseric & Kassandra Rivest

Cynthia : L’aspect militant et l’amour de la cause sont des points positifs indéniables : « Dans notre travail au RLQ, on a la chance d’être out, de pouvoir en parler et de pouvoir contribuer à l’avancement des choses. On se sent utile. »

Kassandra : Pour chaque femme qui sort de l’ombre, il y en a mille autres qui y sont toujours. Les archivistes aiment dire que c’est un travail qui ne s’achève jamais. Il y aura toujours une histoire oubliée à reconstituer quelque part, qui a été consciemment délaissée ou non.

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2022 des éditions saphiques du RLQ.