Portraits 2021

Portraits 2021

DÉCOMPTE JVL - 8 mai au 7 juin 2021!

Présentation d'une série de portraits* en vue de la Journée de visibilité lesbienne

*Les gens entourant la culture lesbienne actuelle, c'est nous tout.es; les personnes lesbiennes, bi, queer, pan, non binaires, bispirituelles, trans et + peuvent faire de cette journée ce qu'elle est.

Crédit photo: Avril Franco
Crédit photo: Guiliphoto
Crédit photo: Martine Michel
Crédit photo: Alexie Lapierre
Crédit photo : Janicka MacKinnon
Crédit photo : Chloé Viau
Crédit photo: Judith Gagnon
Crédit photo: Bernadette
Crédit photo: Julie Fortier
Crédit photo: Esther Léa Ledoux
Crédit photo: Fabienne Maggie Théoret-Jérôme
Crédit photo: Geneviève Hébert
Crédit photo: Danielle Chagnon
Crédit photo: Andréanne Gauthier
Crédit photo: Marie Jocelle Cauvier
Crédit photo: Mélanie Chiasson & Caroline Lemay
Crédit photo : Leïla Lamati
Crédit photo : Julie Lemieux
Crédit photo : Teixeira photographie
Crédit photo: Julie Dubois
Crédit photo: Diane Obonsawin
Crédit photo: Lawrence Fafard
Crédit photo: Nicole Lacelle
Crédit photo: Alexandra Cossette-Lesage
Crédit photo: Frédérike Lachance-Brulotte
Crédit photo: Franklyne
Crédit photo: Alice Tremblay-Bergeron
Crédit photo: Merryl B.
Crédit photo: Maryse Ouellet
Crédit photo: Pascale Blanchet

Partenaires

Eve Salvail

« Ça m’a pris beaucoup de temps avant de m’identifier comme gaie. Je ne le disais pas, j’avais peur d’être jugée, je me jugeais moi-même. Puis, un jour, j’ai réussi à m’accepter, à trouver que ce n’était ni un problème ni un défaut ». Ève Salvail

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

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Anne-Marie Leroux

« J’ai su que j’étais lesbienne vers 11-12 ans, mais au secondaire, je connaissais juste un gai à l’école, donc c’était difficile de m’afficher comme la seule lesbienne et Chinoise », explique Anne-Marie Leroux, en spécifiant que sa mère a toujours été à ses côtés. 

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

Martine Michel

En 1986, Martine Michel a immigré au Québec ; c’était le début d’une deuxième vie. Alors dans la trentaine, fraîchement débarquée à Montréal, elle s’est immergée dans la communauté des lesbiennes radicales, de l’École Gilford à la revue Amazones d’hier, lesbiennes d’aujourd’hui.

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

Alexie Lapierre

Se définissant comme pansexuelle, Alexie Lapierre est aujourd’hui fiancée : « Je fais toujours mon coming out à mes élèves, subtilement. Ils me posent des questions et ça fait toujours plaisir d’y répondre. C’est important qu’ils aient des modèles ! » 

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

Alicia Kazobinka

D’origine burundaise, Alicia Kazobinka a grandi au Sénégal, où elle vivait une dysphorie de genre, qu’elle devait taire, puisque taboue à maints égards. Aujourd’hui dans la jeune trentaine, elle est l’une des rares femmes trans noires visibles du grand public et dans la communauté. 

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

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Chloé Viau

À 71 ans, Chloé Viau a un parcours impressionnant. Celle qui se définit comme une femme aînée trans lesbienne est en union libre, mais il serait juste d’affirmer qu’elle est mariée au militantisme depuis plusieurs années !

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

Judith Gagnon

Elle a fait son coming out et s’est engagée dans divers groupes de discussions gais et lesbiens, puis au GRIS-Québec : « J’avais besoin de parler de mon vécu, car à Plessisville, je n’avais pas de modèle et il n’y avait pas l’accessibilité à Internet comme aujourd’hui. » Judith Gagnon

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

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Bernadette

C’est également à Dakar qu’elle a amorcé son incursion dans le militantisme LGBT auprès de l’organisation Aides Sénégal. « Je ne connaissais pas d’organisation LGBT dans mon pays, car tout le monde se cachait. On ne veut pas que la société et nos familles le sachent, c’est passible de cinq ans de prison », souligne Bernadette qui, malgré les risques, n’a pas hésité à devenir porte-parole des revendications lesbiennes, une population invisible.

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

Julie Fortier

« Bien sûr, je m’affiche comme lesbienne, avec mon ex et mon fils, et ça prend souvent la forme d’éducation populaire. Par exemple, à la garderie d’un petit village, on devient vite étiquetées comme les deux mamans… » Julie Fortier

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

Esther Léa Ledoux

À 46 ans, Esther Léa Ledoux s’engage de diverses façons au sein de la communauté ; lesbienne, elle est notamment nommée présidente du Centre de solidarité lesbienne en 2017, où elle a été de la refonte de la Journée de visibilité lesbienne avec le RLQ et LSTW : « Je suis très fière de mon implication, mais chaque femme est différente et il y a beaucoup de travail à faire contre l’invisibilité des lesbiennes. Pas uniquement sur le plan de l’orientation, mais premièrement sur celui du genre, nous subissions beaucoup de sexisme. »

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

Fabienne Maggie Théoret-Jerôme

Fabienne Maggie Théoret-Jerôme se fait un devoir de raconter son histoire, par le biais des images qu’elle crée : « Je préfère dessiner des personnes de couleur, car il n’y a pas beaucoup de représentations pour les jeunes autochtones. J’espère que nous serons plus visibles, surtout pour ma communauté ; on vient de commencer notre chemin vers l’autodétermination. »

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

Geneviève Hébert

Geneviève Hébert déplore tout de même le manque de visibilité lesbienne dans sa région : « ça devrait s’étendre plus loin que le réseau urbain ; il en manque peut-être, ici, dans les Laurentides. C’est encore un peu tabou, mais côtoyer les gens dans nos milieux, c’est une façon de démystifier les préjugés au quotidien. »

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

Danielle Chagnon

Aujourd’hui, Danielle Chagnon poursuit son travail de mémoire auprès des Archives lesbiennes du Québec : « Se rappeler d’où l’on vient, c’est aussi montrer la richesse de notre histoire. Notre communauté, comme le reste de la population, connaît peu cette riche histoire, qui permet de mieux appréhender le présent. »

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

Katherine Levac

L’humoriste Katherine Levac fait son chemin, racontant ses histoires en humour, sur scène, dont son coming out. « Dans les premiers temps, j’en parlais, mais de façon naturelle, relaxe, drôle même, lors d’un numéro. Pour moi, ce n’était pas un coming out ; dans ma tête, les gens qui font leur coming out ont 15 ans et ils pleurent, c’est dramatique, alors que je ne vivais pas un struggle. J’ai été un peu naïve. Je ne m’étais pas rendu compte de l’impact que ça pouvait avoir ».

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

Marie Jocelle Cauvier

« Au secondaire, les gens trouvaient que j’avais l’air lesbienne, donc j’ai été victime d’intimidation », raconte Marie Jocelle Cauvier qui sensibilise le public sur les médias sociaux, « afin de faire prendre conscience du fait que l’intimidation détruit des vies ! »

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

Mélanie Chiasson & Caroline Lemay

 Mélanie Chiasson & Caroline Lemay sont aujourd’hui les heureuses mamans de Maélie-Rose, 8 ans : « On fait de l’éducation dans le milieu scolaire, d’abord pour présenter la trisomie 21, dont est atteinte notre fille, et on en profite pour éduquer les jeunes sur les différents types de familles. À l’école, les élèves savent que notre Maélie-Rose a deux mamans ».

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

Leïla Lamati

Leïla Lamati se questionne sur les femmes de la diversité sexuelle d’origine magrébine : « On ne les voit jamais, j’ai l’impression d’être seule au monde ! Au travail, sur mon bureau, j’ai mis la photo de ma blonde. Une façon de dire, je vis ma vie ! Bien sûr, ici, j’ai la liberté de le faire. Je le fais pour toutes celles qui ne le peuvent pas. »

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

Julie Lemieux

Julie Lemieux se définit comme une femme trans lesbienne non pratiquante est célibataire : « À l’intérieur, je suis une femme, mais je n’ai pas la prétention de connaître tout sur le monde féminin. Pour la sexualité, ça fait vingt-cinq ans que je suis célibataire, par choix. Lesbienne non pratiquante. Quand on est seule, on est forcée à se regarder, à méditer sur sa personne, à voir ce qu’on peut faire de mieux. J’ai beaucoup axé mes dernières années de travail au service des autres. »

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

Joce-Lynne Proulx

Si elle est en paix avec son choix de vie, Joce-Lynne Proulx ne cache pas son défi de rencontrer d’autres femmes. « Être à Gatineau et plus âgée, c’est difficile, car il y a moins de lesbiennes en région et plus on vieillit, plus nos bagages s’alourdissent.

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

Julie Dubois

Aujourd’hui, à 43 ans, Julie Dubois est directrice générale de l’Alliance Arc-en-ciel de Québec. Elle se rappelle ses débuts, en 2015, dans un nouveau milieu, très gai et plutôt fermé. « En tant que femme, il a fallu que je fasse ma place.»

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

Diane Obomsawin

Diane Obomsawin a réalisé l’acclamé J’aime les filles en 2016, adapté (en partie) de la bande dessinée éponyme, publiée deux ans plus tôt aux éditions L’Oie de Cravan. Si le titre est un clin d’œil à la chanson de Jacques Dutronc, il est en soi courageux, puisque c’est un « coming out perpétuel, une réappropriation », exprime la cinéaste lesbienne.

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

Chloé Robichaud

« Il y a une part de responsabilité qu’on accepte, qu’on accueille, humblement. Sans se dire des modèles, on a envie d’être visibles. Ce n’est pas tout le monde qui peut s’afficher, mais je ne ressens pas que mon orientation ait été une embûche professionnellement. Si on me donnait une pilule pour devenir hétéro, je ne la voudrais pas, car ça m’apporte, entre autres, une force dans ma créativité. J’embrasse qui je suis et je m’assume complètement dans mon œuvre. » Chloé Robichaud

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

Nicole Lacelle

« Ce n’est pas évident. Même quand on fait l’effort d’être visibles, on ne nous voit pas. On n’est pas au point zéro, mais je pense, personnellement, qu’à force d’être fines, de ne pas froisser quiconque, on n’existe pratiquement pas, sauf pour nous-mêmes. Nous sommes des femmes, au sens traditionnel du terme, dans les tâches sociales que nous assumons. On prend soin de tout le monde. Ça ne laisse plus beaucoup de temps aux lesbiennes pour militer. Ce n’est pas pour rien qu’on est invisibles, on fait le travail invisible ! » Nicole Lacelle

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

Alexandra Cossette-Lesage

Alexandra Cossette-Lesage siège maintenant au conseil d’administration du RLQ. À 54 ans, s’identifiant lesbienne, est enfin épanouie : « J’ai toujours été attirée par les femmes et j’ai toujours voulu être une femme. J’ai eu mon opération, un accomplissement pour être qui j’ai toujours été. »

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

Frédérike Lachance-Brulotte

Être un couple lesboparental ne semble pas poser problème, au contraire : « Au début, avant d’arriver au village, on se demandait comment les gens allaient nous percevoir, mais on est dans un quartier quand même jeune, où les gens sont ouverts d’esprit ». Frédérike Lachance-Brulotte

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

Franklyne

« Au début des médias sociaux, je ne savais plus sur quel pied danser. Ma blonde voulait s’afficher avec moi, mais j’avais peur, surtout quand je me suis mise à faire du country ; il y a encore beaucoup d’homophobie, même si ça change lentement. » Franklyne

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

Alice Tremblay-Bergeron

« Il y a très peu d’organismes LGBTQ+ au Saguenay. Le défi, en région, est d’avoir une réelle diversité. Rejoindre les gens, en général, n’est pas chose facile, car il y a une mentalité “ça ne me regarde pas, donc je ne pose pas de questions”. Et les gens ont peur de se joindre à un groupe LGBT, car ça les identifie à ce groupe. » commente Alice Tremblay-Bergeron.

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

Marie Houzeau

À la fin des années 1990, Marie Houzeau a quitté sa Belgique natale pour s’établir à Montréal. Consultante en développement organisationnel, elle s’est impliquée au sein du GRIS-Montréal, d’abord comme bénévole puis, un an plus tard, dans le conseil d’administration.

*À noter que cette publication constitue un extrait d’un texte plus long, à paraitre en juin dans le zine Portraits JVL 2021 des éditions saphiques du RLQ.

Maryse Ouellet

« Nous sommes partis de zéro. Notre défi était de faire notre place dans la MRC de La Vallée-de-l’Or et nous y sommes arrivés ! Plus de 1 800 personnes ont participé à notre festival, incluant la communauté autochtone, qui arrive avec un bus complet ! » Maryse Ouellet

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Pascale Blanchet

Ayant grandi à Saint-Ambroise-de-Kildare, Pascale Blanchet a retrouvé sa métropole d’origine à 19 ans. C’est à ce moment qu’elle a découvert son homosexualité, mais également son amour de la musique et du nightlife montréalais.

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